Si tous autant que nous sommes voyons a chacun de nous un être différent, unique, indépendant comment pouvons nous expliquer que pour ce faire nous ayons besoin du contacte avec les autres.
Nous sommes donc interdépendant des autres ne serait-ce que pour pouvoir constater notre indépendance...
Si tel n'était pas le cas, si nous étions seuls au monde, de qui serions nous différents, de quoi ou de qui serions-nous indépendant...
Mais le contraire n'est-t-il pas tout aussi vrai. Pour qu'il y est un tout, n'est-t-il pas nécessaire qu'il y est des unités séparer et indépendante qui le compose.
Et Le tout n'est-t-il pas unique, car si autre chose existe, forcément il n'est pas Le tout...
Ainsi même dans L'unité ultime il semble existait une notion d'interdépendance, ne serais-ce que la dépendance du tout au partie qui le compose...
L'humain, qui aujourd'hui ce pense indépendant. Celui qui exige d'être reconnu comme étant unique, à qui demande-t-il cette reconnaissance. S'il était véritablement unique, il n'aurait pas besoin d'être reconnu car de nul autre que lui-même pourrait le reconnaitre comme étant tel.
Ainsi ce peut-il que beaucoup de nos problème vienne du fait que nous refusons d'accepter notre dépendance au tout. N'avons nous pas besoin d'air, d'eau, de chaleur, de nourriture pour survire et d'amour pour vivre...
Si tel est notre condition et que tel est la condition de chacun d'entre nous, alors nous sommes tous un peu pareil dans notre différence. Pourtant pareil et différent se contredise par définition.
L'humain n'est-il pas définit comme le seul être doter de logique, logique qui est le propre de notre capacité de raisonné. N'est-ce pas pourquoi nous nous estimons supérieur à ceux que nous désignons comme étant des animaux.
Si nous sommes si logique, comment ce fait-il que nous n'arrivions pas à pourvoir chacun de nos semblables des simples qualités nécessaire à la vie. Pourquoi refusons-nous que chacun d'entre nous puisse avoir de l'eau, de l'air, de la chaleur, de la nourriture et un peu d'amour...
Car le refuser à autrui, n’est-il pas la même chose que ce le refuser à soit même. Puisque sommes tout nous ne sommes qu'une partie du tout, n'est-il pas logique que toutes les parties du tout reçoive leur part égale...
Quoi que le principe d'égalité soulève beaucoup d'autre problème, le gros bon sens de notre raison devrait être en mesure de nous guider dans cette situation. Ainsi, il me semble claire que si je donne à un autre partie de mon tout et que tous fond de même, tout les partie du tout recevrons ce dont ils ont besoin.
De toute façon qui n'a pas besoin des autres. Qui est si fort qu'il peut bâtir sa maison seul en ce procurant par lui-même tout les matériaux, le tout ce procurant lui-même sa nourriture, ces vêtements, médicaments, divertissement, amour et reconnaissance... D'ailleurs n'avons nous pas convenu que pour être reconnue il fallait qu'un autre soit présent...
N'est-il pas claire que nulle n'est indépendant, si vous n'êtes pas convaincu penser simplement à comment vous êtes venu au monde... vous êtes vous enfanter vous même...
ULTIMATE CHOCOLATE CAKE
Il y a 16 ans
1 commentaire:
Maintenant que j'ai un peu plus de temps, je me permets un commentaire.
Je suis assez d'accord avec ce que tu écris: à mes yeux, la question de l'indépendance et de l'interdépendance est farouchement attachée à la quête perpétuelle de Liberté qui caractérise l'être humain. Les théoriciens de l'évolution se gargarisent de la complexité de notre mode de pensée: c'est ce qui fait notre particularité, selon eux. Au fond, ce que cela implique, c'est simplement un profond paradoxe entre ce que nous sommes et ce que nous pensons vouloir être. Un de mes amis me parlait de l'instinct grégaire de l'homme, qui le pousse à vivre en communauté, et que nous avons trop souvent tendance à confondre avec la vie à deux. Celle-ci est anti-naturelle, à mon sens, car elle crée des barrières entre les êtres et réduit les notions de dépendance à l'autre, alors qu'elles sont intrinsèques au groupe.
Comme tu le définis si bien, ce n'est que dans l'absence d'indépendance qu'on ressent son besoin et ce n'est que parce qu'il y a un tout qu'on sait ce qu'est l'unicité. Renaud, un chanteur français, a déclaré un jour, dans une de ses chansons,"Vivre libre, c'est souvent vivre seul". Son point est discutable à bien des égards mais je comprends ce qu'il veut dire: ce qui favorise l'indépendance et l'unicité de l'être humain, c'est la manière dont il est perçu par ses pairs. En clair, sa marginalisation dépend de l'existence d'un système inter-dépendant.
Concernant ce que l'humain a besoin pour vivre, je ne sais pas s'il nécessite vraiment l'amour. Mon côté cynique dirait qu'il est plus habile à le briser, lorsqu'il le tient entre ses mains, qu'à vraiment le préserver. Mais,après tout,toutes nos cultures tendent à prouver que c'est ce à quoi nous aspirons le plus...De fait, laissons-nous une chance d'y croire. ^-^
Force et Honneur.
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